mercredi 25 mai 2011

Nike Watch powered by TomTom

Nike va toujours plus loin et on aime ça.
Aujourd'hui les gens ont besoin de gadgets pour se lancer des défis, en voilà un qui est plus qu'attractif.
Lancée sous la même plateforme que le Nike+ cette montre permet de pousser un peu plus loin le réseau social en partageant ses trajets de façon réelle (sans bidouillage sur Google Map).

Disponible dans les shops le 1er Juillet en France.

mardi 24 mai 2011

4L 3000 on the road to Gumball

La nouvelle édition du Gumball 3000 arrive à grand pas.

Cette année, au départ de la place Vendome à Paris on pourras retrouver toutes les excentricités possibles et immaginables. Un groupement de personnes plus friquées les unes que les autres qui roulent au volant de voitures somptueuses.

Un projet ce détache, le 4L 3000. Vu le nom vous imaginez bien que cela sonne français, et vous avez raison. Un équipage réédite sa précédente participation mais cette fois-ci au volant d'une voiture folle: la 4L.

Je vous laisse fouiller leurs vidéos sur Dailymotion.
En voici le premier épisode:


Bien sûr cela sonne beauf, c'est du fric, des filles en maillot...

Mais le projet est intéressant, l'idée est bonne,
la 4L est un classique.

mercredi 18 mai 2011

Far'n High 2011

Le weekend du 28 Mai se tiendra à la Halle du Val d'Orge
non loin de Paris un contest de skate qui vaut le détour.

Depuis 2008 le Far'n High ne cesse de croître jusqu'à proposer cette année 70 riders, 13 nationalités, les meilleurs skateurs européens et un point d'honneur mit sur l'image. Ce qui fait aujourd'hui de ce rendez-vous une date importante sur le calendrier du skate en Europe.



Adrien Bulard, Eero Anttila, Axel Cruysberghs, Nassim Guammaz, Antony Lopez, 
Julien Béchet, et bien d’autres seront présents pour assurer un weekend riche en émotion.


Si vous êtes dans les parages n'hésitez pas une seule seconde.

lundi 16 mai 2011

Olow "Where is my mind"

Né en 2006 de la rencontre entre Mathieu Sorosina et Valentin Porcher
OLOW est un projet artistique fondé sur le détournement, mixant graphisme, textile, audiovisuel et « bricolage » en tout genre.
La marque s’amuse à chacune de ses collections à jouer sur les antagonismes, créer des situations surréalistes et cultiver une part de subversif.

Toute la gamme est en coton organique et fabriquée en union européenne.

Vous réussirez à y trouver un tee pour votre collec.




vendredi 6 mai 2011

Summer wine by Guillaume Rouan

Je mets beaucoup plus de temps à aller au travail le matin, je crois que pas mal de gens ont pris des vacances et se sont répandus dans le coin. Je me regarde dans le rétroviseur et y découvre un visage mat et bronzé, mes cheveux ont blondi avec le sel et le soleil.

Dans les couloirs, je croise des gens arborant le même uniforme que moi, chemise à carreaux, Vans classic et casquette. Les quinquagénaires essayent d’être dans le coup, mais ils semblent maladroits et ridicules avec leurs grosses chaussures de skate. Les jeunes parlent et rigolent, les moins jeunes s’accrochent.

J’essaye de dégager une image cool et branchée pour me fondre dans le tas et être accepté.

Ici, la désinvolture est une religion.

Je suis malade depuis 15 jours, l’eau froide et polluée a eu raison de mon faible système immunitaire. Quand on ne surfe pas ici on se fait quand même bien chier.

Je vais souvent m’enterrer à la plage pour lire un bouquin et me laisser perturber par les filles qui offrent leurs seins nus au soleil. Ça sent le monoï, la friture et l’été.

Le soir tous ce petit monde va se cloîtrer dans la cave la plus célèbre de la cote : le Dick’s Sand. Je suis obligé de boire beaucoup pour m’y amuser et pour danser. Les gens sont beaux et semblent bien rigoler. Face au bar, la mer gronde et j’ai l’impression de la comprendre.

Le surf travaille à pleins temps dans mon esprit et il m’a pris beaucoup d’argent ces derniers mois, c’est une maîtresse exigeante, difficile et capricieuse, mais qui me défonce de plaisir. Parfois je suis dans l’eau au large, j’attends les vagues, je pisse dans ma combi et une douce sensation m’envahie, je ferme les yeux et laisse le soleil me brûler le visage, et je me dis que

la vie est quand même douce et paisible au travers de toutes ces forêts de pins monotones,

je ne sais pas ce que l’avenir me réserve, il sera sans nul doute précaire,
peu importe tant qu’il a le goût et l’ivresse de l’été.

Guillaume Rouan